La peur du docteur n’est pas insurmontable

Même si un bambin «connaît» son pédiatre, une consultation médicale n’est pas anodine. Cette immersion dans un monde inconnu, avec du matériel étrange, des sons et des odeurs peu habituels a de quoi l’inquiéter. «La première expérience est déterminante. La confiance dans les blouses blanches est à préserver à tout prix car si l’enfant la perd, il sera difficile pour les soignants de la récupérer», observe Françoise Galland, directrice de l’association Sparadrap qui vient de publier son guide Je vais chez le docteur des yeux. En même temps, il ne s’agit pas non plus de dramatiser ou culpabiliser si l’enfant pleure chez le docteur: il exprime son désaccord et signale un besoin d’aide.
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