Comment dire qu’on a mal ?

Lorsque l’on est parent, on n’a pas envie d’inquiéter ses enfants quand on souffre, qu’on a mal. Les adultes responsables doivent faire preuve de force et de solidité, et ne pas montrer leurs faiblesses, non ? La pudeur aussi tend à retenir des propos au sujet de problèmes intimes, qu’ils soient gynécologiques ou digestifs.
En tant qu’enfant aussi, il est parfois difficile d’être reçu lorsqu’on a mal. Surtout si l’on a eu tendance à en rajouter. Mais on peut passer alors à côté de maux sérieux… Il y a intérêt en tous les cas à développer une vigilance face aux signes qui alertent : crispations, difficultés à marcher, fièvre, asthénie ou répugnance face à des aliments qui habituellement attirent. Un papa disait que quand son fils trisomique, assez manipulateur, refusait le chocolat, il se préoccupait vraiment de son état de santé.
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