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Un «merci» contre la charge mentale

La «charge mentale». Tel serait le fléau des femmes modernes, dénoncé dans un buzz médiatique à la Rentrée en France. L’idée est séduisante: même quand Monsieur s’implique pour aider aux tâches ménagères, ce serait toujours à Madame de les planifier, organiser et prévoir. A tel point que, si elle fait moins la vaisselle ou la lessive, elle aurait constamment son cerveau «occupé» par cette charge mentale: veiller à ce que ces tâches, même déléguées, soient bien réalisées. La phrase qui leur serait alors le plus insupportable de la part de Monsieur serait: «Mais tu n’avais qu’à me demander!» En sourdine, Madame bougonne: «Ben, tu n’avais qu’à y penser...»

La «charge mentale». Tel serait le fléau des femmes modernes, dénoncé dans un buzz médiatique à la Rentrée en France. L’idée est séduisante: même quand Monsieur s’implique pour aider aux tâches ménagères, ce serait toujours à Madame de les planifier, organiser et prévoir. A tel point que, si elle fait moins la vaisselle ou la lessive, elle aurait constamment son cerveau «occupé» par cette charge mentale: veiller à ce que ces tâches, même déléguées, soient bien réalisées. La phrase qui leur serait alors le plus insupportable de la part de Monsieur serait: «Mais tu n’avais qu’à me demander!» En sourdine, Madame bougonne: «Ben, tu n’avais qu’à y penser…»

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