Quand un «étranger» débarque dans le clan

Quel événement! Votre fille de vingt-deux ans vient à votre fête de famille avec rien de moins que «l’homme de sa vie», vous dit-elle. Et voilà qu’«il» débarque, un rien gauche, un tantinet escogriffe… Peut-être, déjà, vous demandez-vous: «Que peut-elle bien lui trouver?»
Oulala, et comment cela se passera-t-il entre la chérie de votre aîné qui s’habille chez Gucci, annoncée pour le dessert, et ce dernier venu qui ne jure que par «la justice sociale pour les couturières d’Asie du Sud-Est?» C’est évident, il nous faut apprivoiser les sentiments mêlés que suppose l’entrée des conjoints de nos enfants dans le clan familial, des «étrangers» ne faisant pas partie de notre cercle. La qualité des attachements considérés y contribue. Grande proximité? Le conjoint paraît «rapter» le bien-aimé. Aigreur et distance? Le climat pourrait s’envenimer si l’on passait pour des monstres sans cœur. Une large gamme existe, bien sûr, entre ces extrêmes.
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